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7 juin 2007
Les femmes qui travaillent sont plus nombreuses que jamais, mais des disparités de statut, de sécurité de l’emploi, de salaires et d’éducation entre hommes et femmes contribuent à la "féminisation des travailleurs pauvres", selon un nouveau rapport du Bureau International du Travail (BIT), publié à l’occasion de la Journée internationale de la Femme.
Selon le rapport "Tendances mondiales de l’emploi des femmes", le nombre de femmes présentes sur le marché du travail - titulaires d’un emploi ou en recherche active - atteint des sommets, indique un communiqué publié hier à Genève.
En 2006, le BIT a estimé que les femmes représentaient 1,2 milliard sur 2,9 milliards de travailleurs dans le monde.
Pour autant, de plus en plus de femmes sont au chômage (81,8 millions), affirme également le BIT, ou sont confinées dans des emplois peu productifs du secteur de l’agriculture et des services, ou encore sont moins rémunérées que les hommes pour des postes comparables.
Le BIT ajoute que « la proportion des femmes en âge de travailler qui disposent d’un emploi, ou qui en cherche un, a cessé d’augmenter et décline même dans certaines régions, en partie du fait d’un plus grand nombre de jeunes femmes qui étudient plutôt que de travailler ».
Le rapport ajoute qu’on doit donner aux femmes la possibilité de travailler pour se sortir, elles et leur famille, de la pauvreté en créant des opportunités d’emplois décents qui leur permettront d’exercer une activité productive et rémunératrice dans des conditions de liberté, de sécurité et de dignité humaine. « Sinon, le processus de féminisation des travailleurs pauvres se poursuivra et se transmettra à la prochaine génération », prévient le BIT.
Le rapport montre aussi qu’aujourd’hui davantage de femmes en âge de travailler occupent un emploi salarié (47,9%) qu’il y a dix ans (42,9%). Cependant, l’étude note que plus une région est pauvre, plus les femmes risquent, davantage que les hommes, d’occuper des emplois familiaux non rémunérés ou de travailler à leur compte pour de faibles revenus.
« Dans les dernières Tendances mondiales de l’emploi des femmes (2004), on estimait qu’au moins 60% des travailleurs pauvres dans le monde qui, tout en travaillant, ne gagnent pas suffisamment pour se hisser, elles et leur famille, au-dessus du seuil de 1 dollar par personne et par jour, étaient des femmes ».
Selon l’étude actuelle du BIT, « il n’y a pas de raison de croire que cette situation a évolué considérablement ».
Les longues heures de travail néfastes pour la santé des femmes
Une recherche britannique montre que travailler de longues heures est un stress qui a un impact négatif plus grand pour les femmes que pour les hommes, les rendant plus susceptibles de prendre plus de collations riches en gras et en sucre, de fumer davantage, de prendre plus de café et de faire moins d’exercices.
Pour les hommes, travailler de longues heures affecte un peu moins les habitudes alimentaires et n’a pas d’impact sur l’exercice, la consommation de caféine et le tabagisme.
La recherche montre qu’un ou des événements stressants, au travail ou à l’extérieur du travail, comme faire une présentation, avoir une rencontre avec le patron, manquer une échéance ou même perdre ses clés, change les habitudes alimentaires. Les gens ont alors tendance à moins manger aux repas et à prendre une plus grande quantité de collations riches en gras et en sucre, réduisant ainsi leurs portions de fruits et légumes.
Les plus vulnérables sont ceux qu’on qualifie de mangeurs émotionnels, commente l’auteur, Daryl O’Connor de l’Université Leeds. Ces personnes se tournent vers la nourriture pour éviter la conscience de soi, dit-il. Quand ils se sentent anxieux, émotifs ou négatifs envers eux-mêmes, ils tentent d’éviter ces sentiments négatifs en tournant leur attention vers la nourriture.
Selon Gary Cooper, spécialiste en psychologie organisationnelle et santé de l’Université de Lancaster, les hommes sont moins affectés par les longues heures de travail parce qu’on ne s’attend pas à ce qu’ils assument les tâches de la maison de la même façon que les femmes. Ils aiment plus souvent, dit-il, travailler de longues heures car cela les valorise. Il soupçonne même que certains travaillent un peu plus longtemps afin d’éviter les tâches domestiques.
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