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L’INSEE présente les résultats de son enquête quinquennale
15 janvier 2008
Selon l’enquête “Budget de famille 2006” réalisée par l’INSEE, à niveau de consommation égal, le logement pèse moins chez les familles les plus nombreuses, ce poste est plus lourd pour les personnes seules (23% de leur consommation en 2006) et les familles monoparentales (21%), que chez les couples avec enfants (13%).
L’alimentation pèse surtout sur ceux qui ont des bas salaires
Réalisée dans la continuité des enquêtes budget menées par l’INSEE à un rythme quinquennal depuis 1979, cette enquête apporte des informations uniques sur la consommation des ménages et plus précisément sur les dépenses et les ressources des ménages résidant en France (métropole et DOM).
L’INSEE constate aussi que le poids de l’alimentation dans le budget est d’autant plus élevé que le niveau de vie du ménage est faible.
Cette situation se vérifie depuis très longtemps et dans tous les pays. Mais dans les pays les plus développés, le poids de l’alimentation tend à diminuer. En 2006, en France l’écart entre le 1er quintile et le 5e est de 4,3 points (17,2% contre 12,9%).
Loisirs et culture, un poste sacrifié
Ce sont les dépenses de loisirs et la culture qui, après le logement, reflètent le mieux les écarts de revenus, passant de 8% du budget pour les 20% des ménages les plus modestes, à 14% pour les plus aisés. Ce type de dépenses est également lié au milieu social. À âge, revenu et niveau d’études comparables, elles ont chez les cadres supérieurs et les professions libérales un poids de 2,5 points plus élevé que chez les indépendants (hors professions libérales). Chez les ménages ouvriers, au contraire, il est inférieur de 1,2 point.
Les communications, dépense incompressible
Les dépenses en communications (courrier, achats de téléphone, abonnements téléphoniques, Internet) présentent aussi les traits d’une dépense incompressible. Correspondant pour 90% aux factures de téléphone (fixe et mobile) et aux abonnements à Internet, leur part dans l’ensemble des dépenses ne varie que de 1 point entre les quintiles extrêmes de niveau de vie.
En 27 ans, moins pour l’alimentation...
De plus, entre 1979 et 2006, les écarts de structure de consommation entre groupes sociaux se sont déplacés de l’alimentation vers le logement
La dynamique des postes de consommation n’est pas la même selon les catégories de ménages. Par exemple, pour le poste alimentation, une convergence s’est opérée au cours des trente dernières années : en 1979, l’alimentation représentait en effet 35% du budget des 20% des ménages les plus modestes et 18% de celui des 20% les plus aisés, soit un écart de 17 points. Cette part a depuis décru nettement plus vite chez les premiers (en moyenne 0,6 point par an) que chez les seconds (moins de 0,2 point par an). En 2006, l’écart n’est plus que de 4,5 points. Les dépenses de transports ont aussi tendance à converger. Sur d’autres postes de consommation, les enquêteurs observent un mouvement inverse.
...et plus pour le logement
En 1979, le poids du logement (hors loyers fictifs) était pratiquement identique tout au long de l’échelle des niveaux de vie (environ 12%). Il est resté stable pour les ménages les plus aisés, mais a fortement augmenté pour les autres, en particulier pour les plus modestes. Les dépenses pour les loisirs ont connu une évolution également différenciée : la croissance de la part de ces dépenses a été plus marquée pour les ménages les plus aisés et, de façon analogue, pour les cadres supérieurs et professions libérales, catégories chez qui elle était déjà la plus élevée. L’éventail s’est ainsi ouvert « par le haut », l’écart entre les ménages des quintiles extrêmes passant de 3 points à 6 points entre 1979 et 2006.
Le poste “Communications” qui a, globalement, connu la croissance la plus vigoureuse, a vu aussi sa répartition changer profondément. Jusqu’à la fin des années 1970, c’est chez les ménages les plus aisés que le poids de ces dépenses (certes encore très faible à cette date) était le plus important. À partir du début des années 1980, la relation s’inverse. Les dépenses de téléphone croissent plus vite chez les ménages modestes et, à la fin des années 1980, un poids élevé du poste « Communications » dans la consommation se trouve plus souvent associé à un faible niveau de vie.
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