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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Journée internationale des droits des femmes, le 8 mars
4 mars
À quelques jours de la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars, l’ONG Oxfam France a estimé que les mesures annoncées par le président français Emmanuel Macron en faveur de l’égalité femmes-hommes « tardent ».
Selon l’ONG, les budgets sont « insuffisants » et les mesures annoncées « tardent », parmi elles, Emmanuel Macron avait promit une plus grande égalité femmes-hommes. Mais depuis, cette promesse a été « enterrée », a assuré l’ONG Oxfam France.
Dans un communiqué, l’ONG a indiqué que « partout dans le monde, les femmes gagnent et possèdent moins que les hommes. En France, les salariées françaises gagnent en moyenne 23,5% de moins que les salariés français. Ces inégalités persistantes s’expliquent par plusieurs raisons, à commencer par une surreprésentation des femmes dans les secteurs les moins valorisés et les moins rémunérés et dans lesquels, très souvent, les conditions de travail sont les plus précaires ».
Les mesures annoncées - « congés de naissance partagés équitablement », service public de la petite enfance, réforme de l’index de l’égalité professionnelle - « tardent à se concrétiser », s’alarme-t-elle. Or « un réel service public de la petite enfance est un impératif pour réduire les inégalités femmes-hommes quand on sait que ce sont les femmes qui continuent de sacrifier leur carrière professionnelle à l’arrivée des enfants », a souligné Sandra Lhote Fernandes, responsable de la campagne justice de genre au sein de l’ONG.
Cette dernière a exhorté également le gouvernement à mettre en place une « loi-cadre intégrale contre les violences sexuelles », une demande formulée en novembre par une coalition d’associations féministes et écartée par le gouvernement Barnier de l’époque.
Face aux critiques, Emmanuel Macron, qui a fait de la lutte pour l’égalité femmes-hommes et contre les violences faites aux femmes « une grande cause nationale », s’est à plusieurs reprises défendu de toute inaction, estimant être « inattaquable » sur ces questions.
L’exécutif met notamment en avant un soutien financier accru à la ligne d’écoute associative 3919 destinée aux femmes victimes de violence, le déploiement des téléphones « grave danger » et des bracelets anti-rapprochement, ou encore l’indice de l’égalité professionnelle.
La ministre chargée de l’Égalité femmes-hommes, Aurore Bergé, a assuré début février que le budget est en hausse de 20% pour 2025, avec des crédits s’élevant à 94 millions d’euros pour affronter ce problème.
« Le budget du ministère des droits des femmes pour 2025 c’est à peine la moitié de ce qu’a coûté l’organisation des législatives anticipées de juin dernier », a dénoncé Oxfam France, qui déplore un budget « aveugle aux inégalités de genre ».
Oxfam France propose la mise en place de 15 mesures « d’urgence », parmi lesquelles l’introduction d’« éga-conditionnalités » dans la commande publique, la revalorisation des secteurs les plus féminisés, le renforcement de l’index Egapro ou encore la mise en place effective d’un « congé d’au moins 6 mois partagé entre les deux parents ».
Le rapport d’Oxfam France s’ajoute à celui de la Cour des comptes qui avait assuré en septembre 2023 que « la politique d’égalité, malgré une mobilisation indéniable, quoi qu’inégale selon les sujets, ne se traduit encore que par des avancées limitées ».
« Les temps forts et annonces ont donné une visibilité à la question. Toutefois, la désignation comme ’grande cause nationale’ de l’égalité entre les femmes et les hommes ne s’est pas traduite par la définition et la déclinaison d’une stratégie globale continue », a souligné le rapport, qui concerne la politique menée entre 2017 et 2022.
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