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Des salariés de l’ONF protestent
12 octobre 2011
La 19ème édition du Grand Raid perturbée par un mouvement de grève ? À deux jours de la course événement, c’est ce que prévoit le syndicat UIR-CFDT de la section ONF (Office national des forêts). Mécontents, des salariés envisagent d’organiser des perturbations à des points précis du parcours. Un mouvement que déplorent la Direction régionale de l’ONF et Robert Chicaud, président de l’association Grand Raid. « On ne prend pas en otages des tiers dans un conflit qui ne les concerne pas », martèle le président de l’association.
Situation de malaise à l’ONF. À quelques jours du lancement de la course de l’année, à savoir le Grand Raid, le syndicat UIR-CFDT de la section ONF annonce l’organisation de perturbations au long du parcours. Ce lundi 10 octobre 2011, selon Jacky Técher, délégué syndical régional de la section, l’objectif de cette mobilisation est de « sensibiliser l’opinion publique et les raideurs sur les difficultés rencontrées par les salariés au quotidien ». Il estime, entre autres, que « le travail fourni n’est pas reconnu à sa juste valeur, et les salariés ne peuvent plus accepter cet état de fait ».
Autre point de mécontentement, un contrat signé entre l’État et l’ONF. Un contrat qui prévoit, selon le délégué syndical, une baisse des effectifs de 700 salariés de la structure au niveau national. « Il n’y a pas de renouvellement prévu. On nous demande de faire plus avec moins de moyens », déplore-t-il.
Jacky Técher ajoute : « La goutte d’eau a été, l’an dernier, l’échec des négociations au niveau salarial ». « Le personnel en a marre puisqu’il faut systématiquement saisir le tribunal pour avoir gain de cause depuis deux ans. Il y a un vrai malaise social », précise-t-il.
Des actions prévues
Pour se faire entendre, Jacky Técher confirme que des perturbations se dérouleront bien à des points précis, car, dit-il, « la Direction générale de l’ONF ne nous a laissé guère le choix d’envisager d’autres alternatives ». Il n’a, cependant, pas expressément détaillé les actions qui devraient avoir lieu.
Surpris à l’annonce de ce mouvement, Hervé Houin, directeur régional de l’ONF, affirme ne pas comprendre cette « méthode surprenante ». En effet, s’il reconnaît que les précédentes négociations n’ont pas abouti, le directeur régional précise qu’en quittant la table de réunion, il n’y avait « aucune situation de conflit ». « Il est malheureux de mettre à mal tout le travail associatif mis en place pour cet événement. Il faut être raisonnable. Là où leurs collègues nationaux ont obtenu 1,5% sur leur masse salariale, ils en ont obtenu 3,5% », poursuit-il.
Hervé Houin espère avant tout qu’il n’y aura « pas de débordements », car, dit-il, ce sont des « personnes responsables et raisonnables ».
Pas de barrages
De son côté, Robert Chicaud, président de l’association du Grand Raid, prévenu ce lundi 10 octobre, ne cache pas son mécontentement. Il indique ne pas comprendre « comment des salariés qui viennent de sortir de négociations espèrent se venger et, en guise de représailles, prennent en otage le Grand Raid ». « Je ne peux pas accepter qu’on mette en danger une course populaire à quelques jours de son lancement », fustige le président de l’association.
Si elle se dit consciente de la gêne occasionnée par ces perturbations, l’organisation syndicale affirme « avoir pesé le pour et le contre d’un tel désordre ». « Notre objectif n’est pas de nous mettre à dos les organisateurs et encore moins les raideurs, puisque nous avons des collègues ou des membres de notre entourage qui y participent. En aucun cas nous n’avons prévu de bloquer ou d’organiser des barrages. Nous voulons juste exprimer notre mécontentement », explique Jacky Técher.
Rappelons que ce jeudi 13 octobre, ils seront 2.506 à s’élancer sur la ligne de départ à 22 heures, à Cap Méchant (Saint-Philippe), lors du Grand Raid, 19ème du nom.
À J-2, les salariés mécontents affirment, néanmoins, « être prêts à toute discussion ».
www.ipreunion.com
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