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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Emplois précaires au Conseil général
18 janvier 2006
Dans un communiqué diffusé hier, l’Intersyndicale du Conseil général donne son point de vue sur le dossier des emplois précaires du Département et propose des pistes pour aller vers des emplois durables.
Dans l’article du “Quotidien” du vendredi 30 décembre 2005 intitulé “Nassimah Dindar et les précaires du Département”, il est mentionné que les organisations syndicales de la collectivité départementale « limiteraient leurs demandes à environ 150 intégrations de CEC-CEJ » dans les effectifs du Département.
« Manque d’anticipation »
Les 7 organisations syndicales représentatives de la collectivité, constituées en Intersyndicale CFDT - CFTC - CGC/CFE - CGTR - FO - SPCD - UNSA, « tiennent à apporter un démenti catégorique à de telles déclarations ». « 150 postes sur 3 ans ne collent en rien à la réalité des emplois vacants au sein de la collectivité », affirment les syndicalistes.
« Nous ne pouvons que renvoyer les présidences successives du Conseil général face à leur responsabilité. Le manque d’anticipation et les reniements face à ses engagements ont conduit la collectivité dans cette impasse, objet du mécontentement de ces CEC-CEJ », poursuit le communiqué de l’Intersyndicale. Cette dernière déplore que le volet formation, lié au contrat de chaque personne sous contrat précaire, n’ait pas été pris en compte. « Par le biais de formations et de concours, beaucoup de ces CEC-CEJ auraient pu intégrer les différents corps d’emplois du Département », précise l’Intersyndicale. « Par la fixation au préalable de critères clairs et lisibles par tous, on aurait abouti à la négociation de l’intégration d’un nombre acceptable pour tous, de ces précaires ».
D’ailleurs, l’Intersyndicale rappelle qu’« en 2003, un vaste test d’évaluation est diligenté auprès des 800 CEC-CEJ par le Département. Sans tenir aucun compte des résultats, et sans aucune transparence, le président d’alors signe les arrêtés de titularisation, dont un certain nombre sont sans aucun rapport avec les précaires de la collectivité ». Par ailleurs, les syndicalistes affirment que ces titularisations ont bénéficié notamment à des personnes originaires de Saint-Leu.
Aller « plus loin dans l’intégration »
D’ailleurs, sur la base des déclarations de la présidente du Conseil général qui, en 2004, annonçait « les critères “nécessité du poste pour la collectivité” et “manière de servir” comme critères de titularisation », les syndicalistes estiment que l’on pourrait aller « beaucoup plus loin dans l’intégration ».
L’Intersyndicale précise que « comme le démontre l’accroissement des postes budgétaires vacants, beaucoup de précaires du Département ont été employés sur des postes “titularisables” ».
« Si on rajoute à cela le nombre de départs à la retraite, le rattrapage des postes consécutif aux missions nouvelles de la collectivité, et au bilan du protocole sur les 35 heures », poursuivent les syndicalistes, « nous avons là autant de pistes susceptibles de déboucher sur des solutions au problème de l’emploi au sein du Département ».
« Forts de ces éléments, nous pensons que la collectivité a les moyens d’apporter une réponse réaliste aux aspirations légitimes d’un grand nombre des précaires du Département », note l’Intersyndicale qui souhaite la mise en place de « discussions véritables (...) sur ce dossier », et exprime son refus de « toutes mesures expéditives et palliatives qui portent préjudice à l’avenir des précaires et par delà d’eux à la Fonction publique territoriale ».
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