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Service universitaire de formation permanente (SUFP)
3 octobre 2005
Le service universitaire de formation permanente (SUFP) est en crise. Situation inexpliquée, dirons-nous. Les enseignants de ce service n’ont pas été payés pour l’année 2004-2005.
Les professeurs sont remontés et ont choisi une manière toute naturelle de le dire : ne plus dispenser de cours tant que la situation ne trouve pas son issue favorable. Petit problème : les étudiants qui se sont mis en congés de formation et qui pour la plupart paient de leur poche ses formations, se retrouvent sur le carreau. La semaine dernière, des étudiants de la formation continue, en anglais, ont essayé de comprendre. Il semblerait que le blocage vienne de la présidence, alors que celui-ci renvoie la faute sur le directeur du Service universitaire de formation permanente. Et dire que, lorsque le Service commun de formation (SCFP) est devenu Service Universitaire de formation permanente (SUFP), Serge Svizzero lui-même applaudissait. Pour l’heure, il est à noter que la présidence n’a pas répondu à nos questions sur le sujet. Reste cependant un litige : Pourquoi ne payer un travail effectué ? Pourquoi laisser les enseignants dans une situation si intolérable ?
Déblocage le 15 octobre ?
"Aujourd’hui, on a l’impression qu’on souhaite couler ce service, en ne payant pas les enseignants, et en poussant le directeur du SUFP, Philippe Jean-Pierre, vers la porte" explique un enseignant qui préfère garder l’anonymat. Petit éclaircissement. Comme le prévoit la loi, les enseignants de ce service sont défrayés une fois leur action de formation terminée. Normalement, ils auraient du l’être en septembre. Cette année, les choses se sont passés différemment, au détriment du corps enseignant, et surtout des étudiants. Pas de salaire pour les enseignants. En juillet dernier, Serge Svizzero convoque Philippe Jean-Pierre pour une réunion, programmée le 5 septembre. Il souhaite en effet avoir des renseignements supplémentaires sur les modalités de paiement dans le SUFP. Le 5 septembre arrive, et la table ronde se déroule apparemment sans encombre. Serge Svizzero promet de mandater le paiement des enseignants. Le directeur du SUFP annonce donc aux enseignants que le problème est résolu, et que sous quinzaine ils seront payés pour les cours dispensés. Pourtant, le mandatement ne sera pas effectué. Les enseignants resteront impayés. Pourquoi ? "Serge Svizzero a toujours besoin de renseignements complémentaires", indique l’enseignant. L’affaire est renvoyée au prochain conseil d’administration, prévu le 15 octobre prochain.
La présidence de l’université, le fil d’Ariane ?
Les explications vont bon ton. On reproche à l’actuel président de régler ses comptes avec ses adversaires aux élections internes. Nous n’en saurons pas plus, puisque la présidence n’a pas répondu à notre sollicitation. Et c’est dire que ce silence ne joue pas en sa faveur. La situation de l’Université de La Réunion n’en reste pas moins dommageable pour les étudiants du SUFP, qui risquent de ne pas bénéficier de leur cours.
D’un point de vue plus interne, nous espérons que cela n’a rien à voir avec la venue prochaine des élections pour la présidence. Rien ne doit se faire au détriment des étudiants, qui voient dans l’enseignement supérieur un tremplin vers l’emploi. La SUFP est un service "agrémenté par l’université" qui a aidé bon nombre de Réunionnais à s’intégrer dans le monde du travail. C’est sûr. Présentement, il y a malaise à l’université. Espérons seulement que les enseignants seront payés avant la rentrée 2006. Affaire à suivre...
Bbj
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