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Grève contre la menace d’une baisse des salaires
13 septembre 2007, par
À GET 974, des anciens “emploi-jeune” sont en grève. Ils refusent de revivre la précarité alors que la structure qui les emploie aujourd’hui a été créée pour pérenniser les “emploi-jeune”.
Commencé hier à l’appel de l’UNSA, le mouvement de grève des travailleurs de GET 974 se poursuivait hier. Les jeunes salariés refusent de voir leur salaire diminuer de moitié par le bien d’un temps partiel subi.
Rappelons que cette structure associative a été créée pour pérenniser des “emploi-jeune” travaillant dans les transports collectifs.
Elle emploie aujourd’hui 175 personnes, dont 40 à temps plein. Ces jeunes faisaient partie des 116 embauchés à temps plein en 2002 par GET 974, qui était à l’époque un « exemple de la sauvegarde du dispositif "emploi-jeune" », rappelle Rémy Gara, délégué UNSA.
Mais il leur est proposé maintenant d’intégrer une des deux entreprises créées par un cadre de GET 974. À la clé, la perte de l’ancienneté et des avantages liés, et surtout une perte de salaire. La solution proposée par la Direction est un temps partiel, c’est-à-dire un salaire nettement en dessous du SMIC.
Par leur grève, les jeunes manifestent le refus de retourner dans la précarité.
En effet, quand ils ont été embauchés en tant qu’“emploi-jeune”, ce contrat leur a permis de rompre avec l’incertitude. Ils avaient 5 ans pour faire leur preuve et démontrer qu’ils sont indispensables.
Depuis toutes ces années, les Réunionnais ont pu apprécier le travail de ces jeunes, dans l’accompagnement des bus scolaires ou dans l’accueil et l’information des voyageurs. Ils jouent un rôle important dans la politique des déplacements à La Réunion, et ce rôle ne peut que grandir d’année en année avec le développement des transports collectifs.
La reconnaissance de leur compétence, ils croyaient l’avoir obtenue avec la création de GET 974, structure créée pour pérenniser leurs emplois en 2002.
Mais 5 ans plus tard, ils voient de nouveau poindre la menace d’un retour à la précarité. La précarité, c’est le temps partiel imposé, une diminution brutale de salaire.
C’est contre cette injustice que se lèvent les jeunes de GET 974.
Manuel Marchal
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