
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
4 juin 2008, par
Lors de la deuxième Assemblée plénière du Conseil général des jeunes le 28 avril dernier, les jeunes élus avaient adopté la mise en place d’une journée commune qui a eu lieu, hier, sur le site des Orangers à Sainte-Anne. L’occasion pour ces collégiens de 4ème et de 3ème, élus pour 2 ans, de présenter les actions de chaque commission Est, Nord, Ouest et Sud.
Favoriser la prise des responsabilités des jeunes, les former à la citoyenneté, les initier aux mécanismes de la démocratie et de la gestion locale, tels sont les grands objectifs du Conseil général des jeunes créé en 1989. Ainsi, tous les 2 ans, des collégiens de 4ème et de 3ème, des quatre coins de l’île, mettent en place des projets diversifiés et innovants qui les touchent particulièrement.
Cette année, à l’occasion de la deuxième Assemblée plénière, il a été décidé de mettre en place une journée dédiée à la présentation et à la finalisation des projets portés par les 4 commissions : Est, Nord, Ouest et Sud.
Des projets qui rassemblent différents acteurs
La commission Est désire mettre en place un échange avec les personnes âgées afin d’établir un lien social et relationnel avec elles. “Que pense la 3ème génération de la jeunesse actuelle sur les violences envers les femmes ?” Autour de ce thème, les jeunes souhaitent avoir l’opinion de leurs aînés, leurs acquis, leurs expériences et leur “détachement” des choses de la vie pour les aider à retrouver des valeurs traditionnelles.
La commission Nord s’est, quant à elle, penchée sur un sujet très d’actualité : l’environnement. Les jeunes ont voulu se consacrer à la sensibilisation et à la protection de l’environnement afin que la jeune génération devienne les futurs éco-citoyens de demain. D’ailleurs, le Parc National des Hauts était convié à cette journée commune afin d’apporter sa contribution au débat.
La commission Ouest s’est aussi investie dans la protection de l’environnement en mettant en place une journée de ramassage d’ordures sur les plages de l’Ouest. D’autre part, cette commission a pris conscience des problèmes de surpoids ou d’obésité rencontrés par les adolescents. Les jeunes se sont donc interrogés sur les problèmes alimentaires et, au cours du petit-déjeuner hier, ont pu échanger avec le service Point info Santé de Saint-André, présent également sur le site.
Enfin, la commission Sud a voulu attirer l’attention du public sur les violences aux abords des collèges. Trop de collégiens en sont victimes ! Quels sont leurs devoirs, leurs obligations ? Quelles sont les compétences des organismes de sécurité ? Comment et dans quelles conditions interviennent-ils ? Ce sont des réponses à ces questions que les jeunes élus du Sud ont reçues de la Police et de la Gendarmerie nationales. Leur projet s’intitulait : “Violences au niveau des collèges : quelles sont les compétences d’intervention de la Police nationale et de la Gendarmerie nationale ?”.
C’est ainsi que les jeunes ont mobilisé de nombreux partenaires, notamment la brigade de prévention et de délinquance juvénile, des avocats de la Cour, la Croix-Rouge, des foyers d’enfants, etc... pour des échanges-débats sur des thématiques directement liées à l’adolescence telles que la sécurité routière ou les addictions, mais aussi l’exclusion, les relations intergénérationnelles qui concernent toute la société réunionnaise
SP
La proposition de loi de l’école Raymond Allard vise à garantir la sécurité des enfants aux abords des établissements scolaires
« Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs,
Sur l’ensemble du territoire national, les accidents aux abords des écoles restent encore trop nombreux.
Nous avons éprouvé du chagrin quand nous avons appris le décès d’un jeune élève Saint-Andréen suite à un accident qui s’est produit à la sortie de son école. Ce cas n’est malheureusement pas un cas isolé. Cet enfant aurait pu être n’importe lequel d’entre nous.
La société a tendance à croire que cette situation relève de la fatalité. Nous, élèves de CM2, pensons, au contraire, qu’il faut réagir.
Sur la route qui nous mène à l’école, en plus des problèmes personnels que nous devons gérer, nous devons traverser la rue, nous faufiler entre les voitures, les bus, les motos, les vélos, être obligé de marcher sur la route quand les trottoirs (s’ils existent) sont pris par les voitures.
C’est un véritable parcours du combattant que nous devons effectuer avant de franchir, enfin, le portail de l’école.
Nous, enfants, n’avons pas toujours conscience des dangers auxquels nous nous exposons. L’Ecole de la République nous apprend à grandir en bon citoyen et nous prenons l’engagement de respecter les règles de la vie en société. En contre-partie, nous pensons qu’il est du ressort de l’Etat de garantir notre sécurité.
Ce sont les raisons pour lesquelles, Mesdemoiselles et Messieurs les délégués juniors, nous demandons d’une part que le volet sécurité aux abords des établissements scolaires occupe le premier plan dans tout projet de construction nouvelle. Nous demandons d’autre part que les équipements sécuritaires soient renforcés dans les anciennes constructions. »
Article 1er : Tout enfant bénéficie d’un chemin d’accès à l’école sécurisé
Article 2 : Il est créé un logo "haute qualité sécurité" (HQS) certifiant que les abords de l’établissement scolaire sont sécurisés. Il est apposé sur les panonceaux des rues avoisinant l’établissement scolaire.
Article 3 : Tout élève est informé des règles à respecter aux abords des établissements scolaires chaque année.
Article 4 : Toute nouvelle construction scolaire bénéficie d’un espace piéton. Tout établissement ancien bénéficie d’un renforcement des équipements sécuritaires.
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