
Lo Ladministrassion o santre é tanpir pou lé zot !
8 juillet, parMézami bann marmaye lékol dopi étan pti ziska étan jenn-jan lé an vakanss é mi souète azot ropoz azot in pé an atandan la rantré i ariv… In rogré (…)
FSU-SNES
31 mars 2007
Plusieurs enseignants de la FSU-SNES et du SNALC du lycée Jean Hinglo ont fait part de « l’exaspération de la profession » devant plusieurs mesures ministérielles qui selon eux dégradent beaucoup les conditions de l’enseignement. Pour un faisceau de raisons, de nombreux enseignants n’assureront pas le bac blanc cette année dans de nombreux lycées de France et de l’Outre-mer. « C’est pour pouvoir mieux travailler avec nos élèves », disent-ils pour dédramatiser.
La décision des enseignants de 300 lycées de l’Hexagone et bientôt cinq lycées de La Réunion de ne pas faire passer de “bac blanc” cette année est consécutive à l’état “d’exaspération”, et même de « très grande colère, très générale » existant dans la profession enseignante à la suite de plusieurs décisions ministérielles.
Il y a d’abord eu, le 12 février dernier, la modification d’un décret de 1950 imposant une restriction des heures dites “de première chaire”. Au lycée Jean Hinglo du Port, cela va se traduire par une quarantaine d’heures d’enseignement qui viendront soit en surcharge de travail, soit qui ne seront pas rémunérées. Les enseignants mettent cela sur le compte des mesquineries budgétaires du gouvernement. « Le ministère cherche à gratter partout », disent-ils. Quand ce ne sont pas des suppressions de postes, ce sont des groupes d’élèves qu’on remodèle en les surchargeant. « Les conséquences en sont négatives pour les professeurs et pour leurs élèves », disent les syndicalistes enseignants, dont la colère a été exaspérée par un autre décret, celui du 8 mars 2007 sur les « professeurs associés ». Ils estiment que « le ministère joue avec le feu », ce qui est assez inhabituel en période préélectorale. Ce mouvement, selon eux, est général et, quand ils ont cherché une réponse appropriée, ils en ont trouvé une qui fasse comprendre à tout le monde que « la bonne volonté des enseignants est pour beaucoup dans la bonne marche des établissements ». A l’inverse, si les enseignants ne sont plus incités à faire preuve de bonne volonté, cela pourrait se mettre à ne plus tourner très rond dans d’éducation nationale.
A Jean-Hinglo, après Rolland-Garros et Bellepierre, les enseignants ont décidé dans une assemblée générale du 26 mars, de ne pas participer au bac blanc. « La décision de ce qui a trait au pédagogique devrait relever des enseignants », observent-ils de prime abord, expliquant ensuite le boycott de cette fausse épreuve « ne va pas pénaliser les élèves ». « Nous ne sommes pas en grève. Nous demandons à travailler avec nos élèves, sur nos objectifs », expliquent-ils, ajoutant que « Gamède a déjà fait perdre une semaine de cours ». Rajouter une semaine de désorganisation du travail des enseignants pour recommencer un bac blanc qui a déjà eu lieu en décembre, pour ce qui concerne Jean-Hinglo, ce n’est pas de très bonne politique administrative, laissent-ils entendre.
En fait, les enseignants sont assez surpris de la « politisation excessive de l’échelon supérieur », à savoir l’administration du lycée, qui se serait chargée, selon les syndicats, d’aviver l’animosité des parents d’élèves. « Pourquoi les parents ne disent-ils rien devant les suppressions de postes ? Elles altèrent beaucoup plus gravement les conditions de préparation du vrai bac » répondent-ils aux parents. « Le bac blanc n’a pas de caractère obligatoire ». C’est une surcharge de travail que le ministère actuel n’encourage pas les enseignants à accepter. « Cette décision ne mérite pas autant d’animosité », ajoutent les enseignants de Jean-Hinglo membres de la FSU, du SNES et du SNALC.
P. David
Travailler plus pour gagner moins : non merci !
Dans un communiqué publié hier, l’Intersyndicale SNES SUD SNALC SGEN SNETAA du lycée de Trois-Bassins nous informe que « Les professeurs du lycée de Trois-Bassins, réunis en Assemblée générale ce jour (hier - NDLR), ont décidé de boycotter le Bac blanc, prévu en avril, en protestation contre le décret de février 2007 (dit décret De Robien) relatif à l’allongement de leur temps de travail sans rémunération supplémentaire, et à la bivalence imposée. »
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