
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
7 décembre 2020, par
Deux ans après le début du mouvement des « gilets jaunes » et toutes les violences à l’encontre de ces derniers, nous assistons de nouveau à un déchainement de violence contre le peuple. Vidéo édifiante de près de 10 minutes, où l’on voit un homme se faire violemment frapper par des policiers. Les violences policières ont été à nouveau mises en lumière par cette vidéo qui devrait mettre fin à tout doute sur les violences policières.
Comment voulez-vous que le peuple soit rassuré et protégé par une police qui a osé mentir à leur hiérarchie pour se couvrir, en accusant leur victime sans relâche. Heureusement que la vidéo était présente, laissant peu de place au doute sur l’agissement réel de ces policiers. Néanmoins, il faut bien distinguer les « brebis galeuses », coupables désignées du déchainement de violence que subissent certaines personnes innocentes, du reste des forces de polices.
Cette affaire est une preuve de plus pour enlever l’article 24 du projet de loi « Sécurité globale » qui encadre la diffusion des images des forces de l’ordre en opération. Texte jugé attentatoire à « la liberté d’expression » et à « l’Etat de droit ». C’est une atteinte au droit des citoyens et de la presse à informer. Il faut filmer et continuer à le faire car s’il n’y avait pas eu d’images, on n’aurait rien connu et cette affaire serait passé inaperçu et peut être contre la victime. Sans image diffusées par la société civile, les violences policières resteront impunies.
Cet usage de la force contre les citoyens contribue à rompre le lien de confiance indispensable entre les citoyens et la police. Il faut que ceux qui font respecter la loi la respectent eux-mêmes pour éviter toute forme de tension qui ne cessent d’augmenter à l’égard des policiers et qui se ressentent de plus en plus lors des manifestations. Que certains, par leurs actes odieux, n’entachent pas l’image de la profession Le respect doit être mutuel pour une bonne société et un apaisement global.
Bertrand Ancelly
Lo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Le calendrier scolaire élaboré par le Rectorat pour les 3 prochaines années est désormais connu et fait débat. Pour cause, à l’exception de (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
Le Conseil départemental a décerné, le vendredi 27 juin, les prix « Thérèse Baillif » et « Célimène » lors d’une cérémonie organisée dans (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mé dam zé méssyé, la sossyété,dsi la késtyonn fors néna la fors natirèl, sak wi gingn an néssan épi an grandissan korèktoman. Mwin lé sirésèrtin (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)