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A la SOTRAM-COTRAM
29 mai 2004
Au cours de la négociation d’hier, la proposition patronale défendue par M. Liégault, PDG de la SOTRAM, est descendue de moitié depuis la dernière rencontre. Les parties se sont séparées sur le constat d’un trop grand recul piloté, selon les grévistes, par un MEDEF que tétanise la crainte d’une contagion revendicative.
La grève à la SOTRAM va continuer. Un inspecteur du Travail va participer aujourd’hui à la réunion de négociation qui se tiendra à Savannah en fin de matinée. Les grévistes, après avoir repoussé les simulations du MEDEF, estiment que la solution est dans les mains des patrons. "À eux de faire le pas et les bonnes propositions" a déclaré hier André Daffreville, secrétaire de la CGTR-URSO.
La grève qui s’est déclarée mardi dernier s’appuie sur des revendications salariales visant à une mise à niveau des salaires, trop souvent maintenus au niveau du SMIC. Le point de départ du mouvement a été une protestation des salariés devant la marque de mépris manifestée à l’un des leurs par le directeur d’exploitation de la SOTRAM (voir encadré).
P. D
Un salarié traité par le mépris
Félix Payet, 50 ans, père de cinq enfants, a travaillé vingt-six ans à la SOTRAM. En avril dernier, il était en congé maladie et a repris son poste le 3 mai. Ce jour-là, on lui a désigné un camion qui s’est avéré défectueux : il y avait une fuite d’air que la direction a reproché à Félix Payet de ne pas avoir détectée. Sanctionné d’une mise à pied conservatoire, le salarié a été...“oublié” par la direction pendant trois semaines. Lorsqu’au bout de ce temps, Félix Payet a demandé s’il était licencié ou réintégré, en faisant valoir une situation financière difficile, le directeur d’exploitation l’a renvoyé en lui disant "d’aller faire la quête auprès de ses collègues". Cette marque de mépris a motivé les salariés pour une mise à plat générale des salaires.
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