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Pour des primes de départ décentes pour des travailleurs licenciés
31 octobre 2006
En grève depuis jeudi dernier, les travailleurs de la SOBORIZ luttent pour que 3 salariés puissent bénéficier d’une indemnité de départ égale à six mois de salaires. Le mouvement se poursuit ce matin.
Depuis jeudi dernier, les travailleurs de la SOBORIZ sont en grève pour contester les licenciements économiques annoncés par la direction pour faire face à des difficultés de l’entreprise. Soutenus par la CGTR, les salariés en sont aujourd’hui à leur sixième jour de lutte.
Vendredi soir, les négociations avaient abouti au reclassement dans d’autres sociétés de quatre travailleurs. Restent en suspend le délégué syndical, placé sur la liste des personnels licenciés, et trois salariés parmi les plus anciens de la SOBORIZ, pour qui aucune solution de reclassement n’a pu être trouvée.
Un délégué syndical sur la liste
Concernant le délégué syndical, les grévistes ont bon espoir d’obtenir une autre issue que le licenciement. Il est en effet un salarié protégé par le Code du travail, « qui doit être la dernière personne licenciée dans l’entreprise en cas de licenciement économique », insistent les grévistes. La procédure engagée doit aller devant la direction du travail, et le licenciement est conditionné par l’accord de cette institution.
Pour les trois autres travailleurs, les grévistes se mobilisent pour qu’ils puissent obtenir une prime de départ conséquente, en plus des indemnités légales dues par l’employeur. Au début des négociations, la direction ne souhaitait lâcher qu’un demi-mois de salaire, elle a ensuite proposé un mois. Pour leur part, les grévistes revendiquaient un an de salaire. Pour faciliter les négociations, ils ont fait l’offre ferme et définitive de six mois de salaires. D’autant plus que ces travailleurs ont trente ans d’ancienneté dans l’entreprise.
36.000 euros
Calcul fait, cela représente au total 36.000 euros à débourser pour la direction, et force est de constater que depuis jeudi, cette dernière a dû perdre bien plus, estiment les syndicalistes.
Pour les grévistes, la direction n’a pas fait beaucoup d’efforts pour aider à une issue favorable au conflit. Cette dernière faisait état de son ignorance sur la possibilité de verser à un salarié des indemnités de départ sans que ce dernier puisse faire un recours. Or, informés par un inspecteur du Travail, les grévistes soulignent que l’employeur est libre de verser six mois de salaires à un travailleur licencié en plus des indemnités légales, puisque que départ se règle à travers une transaction, signée par le salarié. Pour les grévistes, le prolongement du conflit illustre la volonté de la direction de licencier à tout prix.
Hier soir, les syndicalistes annonçaient que la direction avait pris l’engagement de se renseigner auprès de la direction du Travail sur la marche à suivre pour le versement d’indemnités supplémentaires, revendication des grévistes. Ces derniers se disent prêts à signer un protocole de fin de conflit dès que les trois travailleurs licenciés auront obtenu l’indemnité demandée. Dans l’attente de la satisfaction des revendications, la grève continue à la SOBORIZ.
M. M.
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