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Après la grève
25 août 2004
De véritables discussions sur les salaires et non une politique catégorielle, des promotions basées sur des critères objectifs et non à la tête du client : les revendications posées par trois organisations syndicales, l’UNSA, la CFTC et FO semblent avoir été entendues par la direction de la SEMITTEL.
À l’appel de ces trois organisations syndicales, Les salariés de la SEMITTE Lavaient observé lundi matin un débrayage qui s’était transformé en grève pour protester contre des “promotions” touchant des salariés, n’ayant que quelques mois d’ancienneté au détriment d’autres, ayant davantage d’expérience et d’ancienneté au sein de l’entreprise.
De même, les syndicats protestaient contre le fait que les revalorisations salariales ne concernaient que les bas salaires, au lieu de porter sur l’ensemble du personnel, toutes catégories confondues. "La direction prend le problème à l’envers et on se retrouve avec des manoeuvres qui touchent le même salaire que des chauffeurs, sans en avoir les mêmes responsabilités", expliquait en substance, Jean-Marie Lebreton, délégué UNSA.
Lundi matin, après que le président de la SEMITTEL ait fait savoir son refus d’entamer toute discussion, c’est Michel Fontaine, président de la CIVIS, qui recevait une délégation pour écouter ses doléances. Dans l’après-midi, Albert Périanayagom, président de la SEMITTEL, persistait dans son refus de toute discussion avant le 1er septembre, pour finalement accepter une rencontre en début de soirée. Laquelle rencontre devait se terminer fort tard dans la soirée aux alentours de 22 heures 30.
Au sortir de cette réunion, les représentants du personnel affichaient une certaine satisfaction. Ainsi, le directeur n’aura plus de prérogatives concernant les ressources humaines et pour ce qui concerne les sanctions disciplinaires, ainsi que le demandaient les salariés, une commission sera mise en place avec la participation de deux représentants du personnel issus du comité d’entreprise.
Pour ce qui concerne les promotions, là, pas de commission, mais celles-ci seront faites en tenant compte de propositions émanant pour moitié du comité d’entreprise et pour moitié de la direction.
Enfin, pour ce qui concerne les salaires, une réunion aura lieu le 1er septembre, afin d’approfondir la question et d’établir des pistes de travail. À cela s’ajoutent sur le protocole de fin de grève, deux notions auxquelles sont sensibles les salariés : pas de sanction pour fait de grève et le paiement de la journée non travaillée.
Si dans l’ensemble, les organisations syndicales s’estiment satisfaites de ces avancées, elles restent toutefois vigilantes. Ainsi, à toutes fins utiles, un préavis de grève sera déposé pour le 2 septembre, lendemain des négociations prévues sur la question des salaires, histoire de montrer que si des avancées positives ont été enregistrées, plus que jamais, les organisations représentant les salariés restent attentives aux engagements pris mardi par le président, Albert Périanayagom.
D’autant, rappellent les syndicalistes, que cela fait maintenant plusieurs années que ces revendications sont posées sans que des solutions soient avancées ni que la direction accepte de discuter véritablement. Il aura donc fallu une forte mobilisation causant de sérieux problèmes à l’activité transport pour que les choses évoluent...
S. D.
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