
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Une situation qui dure depuis des années
29 juin 2016, par
Le patronat refuse toujours toute augmentation des allocations chômage. La conséquence de ce blocage, c’est le gel des indemnités versées aux travailleurs qui sont licenciés par leurs patrons. Ce blocage dure depuis plusieurs années, le gouvernement va-t-il enfin intervenir pour protéger les travailleurs les plus vulnérables ?
Lundi à Paris dans le cadre de l’UNEDIC, les discussions ont reprises entre les syndicats et le patronat au sujet du montant des indemnités versées aux travailleurs privés d’emploi. La CGT revendiquait une hausse de 5 %, destinée à compenser le gel depuis plusieurs années des allocations chômage, les autres syndicats 0,5 %. Du côté du patronat conduit par le MEDEF, pas question d’augmenter les indemnités.
Pour tenter de parvenir à un accord, la CGT a rejoint la revendication des autres syndicats. Malgré cela, le patronat se refuse toujours à faire le moindre geste. En conséquence, les revenus des chômeurs qui ont droit à une allocation sont toujours bloqués. Non seulement des travailleurs paient les conséquences des décisions de leurs patrons en étant jetés au chômage, mais en plus les représentants de ces patrons leur inflige une double peine en interdisant que les allocations chômage suivent au minimum la progression de l’inflation. Cela se traduit donc par une perte de pouvoir d’achat pour tous les travailleurs qui n’ont que ces allocations pour survivre.
Le gouvernement va-t-il enfin intervenir pour ramener le patronat à la raison ?
M.M.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)