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Mobilisation contre l’application du plan de rigueur
24 février 2011
Aux côtés des jeunes et des enseignants depuis le début du mouvement, l’UNEF appelle les étudiants à participer aux rassemblements de demain à Saint-Denis et au Tampon.
L’UNEF appelle à la mobilisation la plus large demain à Saint-Denis et au Tampon. « Le système éducatif est progressivement détruit par le gouvernement », constate Emeline Vidot, secrétaire générale de l’UNEF-Réunion. À ce jour, les revendications n’ont eu aucune réponse, et la garde à vue d’Alexis Chaussalet, responsable de l’UNL « jette de l’huile sur le feu ».
L’UNEF dénonce la brutalité de la répression, « la tentative de faire taire la jeunesse réunionnaise est inacceptable ». « Restreindre l’encadrement des élèves pour des logiques budgétaires n’est pas acceptable », précise Emeline Vidot, « nous sommes tous concernés par cette casse du service public. Nous appelons l’ensemble des étudiants à descendre dans les rues ce vendredi 25 ».
Les étudiants paient également le prix de cette casse sociale par la dégradation des conditions d’enseignements à La Réunion. Camille Maillot, présidente de l’UNEF-Réunion, rappelle que « le gouvernement fait le choix d’ôter des moyens aux universités et aux CROUS alors que les besoins sont grandissants ». Les conséquences sont désastreuses : « en plus des fermetures de filières qui s’enchaînent, la mise en place du système de "paliers" afin de contrôler de manière draconienne les quotas au sein des filières, s’ajoute les suppressions de poste à la pelle au sein de notre établissement d’Enseignement supérieur ».
Ses suppressions concernent en premier lieu des précaires dont le travail répond pourtant à des besoins permanents de l’Université. « L’Université de La Réunion n’est pas une sous-université », poursuit Camille Maillot, « elle doit bénéficier de moyens suffisants pour pouvoir assurer sa mission d’Enseignement supérieur correctement ».
Hassan Issabhaï, vice-président étudiant de l’Université donne un exemple des conséquences de cette politique : la suppression du poste de la secrétaire du BVE. Outre le drame humain, les conséquences sont un recul de la démocratie à l’Université, puisque le travail de la secrétaire du BVE assurait notamment la coordination du travail des élus.
Tout comme dans les écoles, les collèges et les lycées, le résultat de ces politiques pénalise les jeunes, et notamment ceux qui ont les revenus les moins élevés : « alors que le service public devrait être un outil de protection pour les plus faibles, la politique du gouvernement répond à une logique simpliste et libérale de démission de l’État et fragilise le service public », ajoute Camille Maillot.
L’UNEF demande donc l’arrêt des suppressions de postes, le financement des universités en fonction des besoins et non de leur performance supposée, mise en place d’un plan pluriannuel de recrutement d’enseignants- chercheurs et de personnels BIATOSS pour lutter contre l’échec en 1er cycle.
Elle appelle également au succès le plus large de la mobilisation prévue demain contre l’application du plan de rigueur dans l’Éducation nationale.
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