
Lotonomi alimantèr ? Dann in plan rényoné pou noute dévlopman.
17 juin, parMézami, mon bann dalon, Késtyonn dévlopman, zot i koné kossa noute parti i vé pou la Rényon é zot i koné kozman lo kozman noute bann kamarade kan (…)
17ème Conférence des Nations unies sur le Climat à Durban
9 décembre 2011
Depuis plusieurs jours et jusqu’à ce soir se tient en Afrique du Sud une énième rencontre de plus de 190 pays sur le réchauffement climatique. L’objectif est de trouver comment diminuer les émissions de gaz à effet de serre, et ce, afin de limiter la hausse des températures sur la planète. De belles perspectives en théorie, mais dans le concret, les choses ne sont pas si simples…
La question du devenir du Protocole de Kyoto
Le Protocole de Kyoto, traité international visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre, impose aux grands pays industrialisés de réduire leurs émissions. Cette convention arrive à terme en 2012 et son devenir est l’un des enjeux incertains de cette nouvelle rencontre internationale.
Si les États-Unis sont souvent montrés du doigt par leur refus de signer le Protocole de Kyoto, il ne faut pas pour autant oublier qu’à l’exception de la Norvège, les pays signataires ne respectent pas les engagements pris en matière de baisse des émissions de gaz à effet de serre.
De nombreuses voix se sont élevées pour regretter la différence entre les engagements pris et ce qui a réellement été fait. Jean Jouzel, climatologue au GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat), a ainsi dénoncé le problème de la mise œuvre du protocole issu en grande partie d’un manque de volonté politique.
Des pays qui se sont engagés à l’époque remettent aujourd’hui en cause le devenir du Protocole de Kyoto alors que d’autres y sont très fortement attachés, c’est notamment le cas des petits territoires insulaires, le tout sur fond de “qui est responsable ?”.
Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a reconnu le caractère imparfait, voire insuffisant du Protocole de Kyoto, mais a estimé qu’il était « une fondation sur laquelle bâtir l’avenir ».
De la difficulté d’un accord mondial quand la responsabilité des pays est si variante
Il a été rappelé durant cette conférence que si un nouvel accord dépendait de tous, la Chine, l’Inde, la Russie, le Japon et les États-Unis, responsables à eux seuls de 50% des émissions de gaz à effet de serre, devaient s’engager pleinement. Et c’est ici que le bât blesse.
Alors que Ban Ki-moon n’hésite pas à déclarer que c’est « l’avenir de la planète qui est en jeu » à travers ce protocole, que des experts mettent en garde contre la probable future inhospitalité de certains territoires, l’enjeu mondial et humain est freiné : les territoires durement frappés par le réchauffement de la planète, notamment les territoires insulaires, attendent des “grands” des décisions courageuses alors que ces derniers sont occupés à « savoir ce que va faire l’autre pays » au lieu de « ce qu’ils peuvent faire eux-mêmes ».
Finalement, encore une fois, les intérêts que l’on pourrait qualifier de “personnels” passent avant l’intérêt général, sauf que là, condition aggravante, c’est à l’échelle de la planète. Si les conséquences se voient amplifiées, le processus est le même et le négociateur de la République du Congo l’a assez bien résumé : « quand deux éléphants se battent, c’est l’herbe qui est foulée ».
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