Quand un gros bateau se plante, est-ce seulement parce qu’à bord on dormait ?
Je prends volontiers le risque que l’on me dise que, cette fois, je fais comme ceux qui voient le mal partout et que j’exagère donc.
Dans ce qui vient de se passer à quelques dizaines de mètres du Barachois, là où l’océan vient de déposer ses flux sur les galets et le sable du littoral, je n’arrive pas à me satisfaire de l’affirmation titrée ici ou là et selon laquelle l’erreur a été humaine.
Le roulier “Thor Scan” naviguait tous feux allumés vers Duban, sur un trajet qui le mettait loin (…)