Le régime paléo : un chemin de la sobriété heureuse ?
J’ai le souvenir que, dans les années 60, lors de mon premier boulot parisien, je ne supportais pas de rester assis plus d’une heure ou deux et je trouvais mille prétextes pour me lever de mon siège, y compris pour aller boire un café au bar le plus proche. Ce qui me sauve aujourd’hui d’une vieillesse impotente, c’est la marche à pied. Mais je pense que, comme la moitié au moins de l’humanité, je serais en bien meilleure forme si j’avais marché plus souvent. Mangez, bougez nous dit le (…)