Je m’en souviens très bien : Claude Huc en tête, nous ruâmes dans les brancards du grossier personnage...
Il fut un temps où sur des questions du principe, la solidarité entre journalistes était une réalité et donc une force. J’ai encore en tête une scène qui s’est passée au Barachois, sur les terrasses de la station de l’O.R.T.F., il y a de bien nombreuses années. J’y assurais de manière militante pour “Témoignages” la couverture d’une rencontre à laquelle l’équipe de l’émission radiophonique "Le jeu des 1.000 francs" avait convié la presse écrite réunionnaise. Il y avait là Claude Huc pour le (…)