Désenchanter le corps ou l’enchanter ?
Selon mes habitudes, après une première lecture de l’introduction et de la conclusion de l’ouvrage plus une attention portée aux références bibliographiques, pour cet ouvrage il m’est venu l’image — déjà suggérée par la Professeure de biologie et embryologiste Rosine Chandebois [1] — d’un aveugle. Il s’agit du biologiste moléculaire qui a besoin d’un paralysé, ce dernier embryologiste, que le premier porte sur son dos pour le guider.
Trop rapidement perçue, Frédérique de Vignemont se (…)