’Ah ! Les communistes, dommage que vous soyez communistes !’
En septembre 1973, tout jeune élu municipal du Port, j’eus l’honneur de faire la campagne des cantonales contre Maurice Tomi. Dans notre cité ouvrière et maritime, lui, le grand patron envoyé par la droite guerroyer contre l’incontesté leader du syndicalisme qu’était Bruny Payet, ne pouvait que perdre cette bataille électorale (1).
Je me rappelle cet adversaire valeureux, allant au charbon en sachant fort que ses propres ouvriers qui l’aimaient bien n’allaient cependant pas trahir leur (…)