Emmanuel Macron et la montée des extrêmes : une énorme responsabilité
La vampirisation de l’électorat de gauche et de droite
Le 7 mai 2017, le soir de son élection, le jeune président Emmanuel Macron, arrivé en tête du second tour face à Marine Le Pen avec 66 % des suffrages, s’était engagé, vous vous en souvenez, à ce qu’il n’y ait « plus aucune raison de voter pour les extrêmes ». Et d’installer dans la foulée un face à face permanent avec Marine Le Pen et le Rassemblement national. Et ce, après avoir « vampirisé » l’électorat socialiste : au premier tour (…)