L’ennui avec lui, c’est qu’il a dit...
Ce n’est pas tant le ministre de l’Intérieur que René Paul Victoria et certains autres ont reçu ces deux derniers jours. Il est manifeste que c’est surtout au candidat à la présidentielle de 2007 qu’allaient leurs sourires, accolades et compliments, en un mot leur accueil. Cela ne me gêne nullement. Après tout, c’est leur affaire. Si M. Sarkozy devient chef de l’État dans une vingtaine de mois, ils pourront lui rappeler leur bon souvenir. Dans chacune des nombreuses petites phrases qu’il a (…)