Lowitz... Sham’s... Aboudou... Larifou...
Cela n’a pas été dit et encore moins écrit : quand certains évoquent la nécessité d’une loi pour dire le droit du sol, le droit du sang ou les contrôles ADN, tout le monde a bien compris que ce sont les Comoriens qui sont visés. Il convient cependant de préciser qu’il s’agit essentiellement des Comoriens pauvres, ceux qui espèrent sortir de la plus noire des misères et choisissent la dure loi d’une émigration volontaire vers d’autres terres où, espèrent-ils, ils auront la même chance que (…)