Chido à Mayotte : Même dans la mort ils restent des clandestins

Il est d’ailleurs précisé que le bilan est si lourd parce que les gens n’ont pas voulu se rendre dans les abris avant l’arrivée du météore de peur d’être victimes d’arrestation et d’expulsion. C’est de leur faute en quelque sorte. On oublie par là même que la chasse aux clandestins accélérée par les opérations Wuambushu de Darmanin en 2023 et 2024 s’est déroulée autour des — rares — points d’eau collectifs, devant les hôpitaux et les centres de santé avec l’aide des milices locales, ou (…)

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