Tristes commanditaires...
Ce samedi 8 octobre, j’ai tenu à exprimer à Nassimah Dindar toute ma solidarité après l’article écrit pour salir et paru en page 10 du “JIR”. Un article tout ce qu’il y a de plus odieux et qui, partant d’un fait réel et qui pouvait effectivement mériter d’être porté à la connaissance des lecteurs (un cadre du Conseil général remercié a vu le Tribunal administratif ordonner l’annulation de son licenciement), dérape vers d’inacceptables sous-entendus sur la vie privée supposée à venir de la (…)