Retour sur les errements sécuritaires de la présidentielle de 2002

Accusée... à tort : la présomption d’innocence

Cela ne doit pas dire grand-chose à nos lecteurs, sauf à leur rappeler que Jean-Claude Bonnal est surnommé "le Chinois". En octobre 2001, 6 mois avant la campagne pour l’élection présidentielle, "le Chinois" est mis en cause dans une tuerie. Circonstance "aggravante" aux yeux des policiers et des partisans du tout répressif, "le Chinois" avait été remis en liberté 1 an plus tôt, en novembre 2000, par le juge d’instruction Jean-Paul Laurens en plein accord avec le président de la Chambre (…)

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