Témoignage d’Antoine Boyer, chef d’entreprise atteint par le chikungunya
’Un handicap physique et financier’
En mai, durant cinq jours, de "gros handicaps" empêchent Antoine Boyer de marcher, le contraignent à se déplacer "à quatre pattes" pour aller ne serait-ce qu’aux commodités. "Mes muscles ne répondaient plus, les douleurs étaient insoutenables."
Professions libérales en danger
Pendant deux à trois semaines, le mal perdure avec des pics d’intensité plus ou moins incapacitants. "C’est au réveil que c’est le plus dur. Ankylosé, il faut se chauffer pendant 5 bonnes minutes en marchant (…)