C’était quelques instants avant que je me retrouve, muet et vidé...
C’était quelques instants avant que je me retrouve, muet et vidé, devant une feuille sur laquelle mon stylo n’arrivait plus à glisser. Le choc était là, plus lourd que jamais, à me laisser dans la recherche de ce qui me reste à faire... Et puis, je revis Anick arrivant, souriante, à la cafétéria de la Région, amaigrie par l’épreuve pesante, le visage éclairci par mille larmes versées durant ces jours d’un cauchemar dont seuls ceux qui y sont passés peuvent parler.
Et elle nous parla... de (…)