Violences urbaines : le pluriel à son importance
Deux mois après les émeutes de banlieues déclenchées par le drame de Clichy-sous-bois, se dessinent nettement aujourd’hui deux types d’explications : le premier en termes de délinquance, le second en termes de manifestation du désespoir social.
Pour être totalement exhaustif, il faudrait en ajouter un troisième, très minoritaire puisqu’on ne le trouve, me semble-t-il, que sous la plume d’Alain Finkelkrault, voyant dans les violences urbaines un complot ethnique antisémite. Les banlieues (…)