Le courrier des lecteurs du 26 janvier 2006
Les conséquences du chikungunya
J’avais onze ans, nous habitions à la rue Victor le Vigoureux (ex-rue du Canal Saint-Étienne). Je me souviens, chaque mois, je voyais passer à la maison une équipe du service prophylaxie que ma grand-mère accueillait avec le sourire et lui faisait visiter la propriété les coins et les recoins où se reposaient les moustiques. Ils pompaient leurs produits partout sans oublier le bassin d’eau et le lavoir où ma mère lavait les vêtements de la famille. (…)