Chikungunya : Au nom de quel principe écarter la possibilité d’une lutte biologique ?
Le paludisme tue environ 1 million de personnes par an dans le monde. Le chiffre augmente non pas à cause de la croissance démographique, mais en raison de la résistance accrue des moustiques à la chloroquine et de la difficile éradication du vecteur-moustique.
À La Réunion, nous avons déjà l’exemple da la résistance possible du moustique vecteur du chikungunya à des facteurs externes telles les basses températures. Les services de l’État n’espéraient-ils pas une éradication de l’épidémie (…)