Débat public au Département
Chikungunya : ’On ne peut pas rester les bras croisés’
Cette première tentative de débat est déjà une amorce dans la prise en compte des attentes de la population qui demande une information claire et transparente. Largement entamé dans la presse, hier dans l’hémicycle du Conseil général, il a tardivement démarré après deux heures de bilan d’actions de l’État, forcément positif. L’on retiendra l’intervention de Thérése Baillif, présidente de l’AMAFARE, qui a ouvert enfin les échanges avec la salle, en déplorant ce long "monologue." "Je ne me (…)