Il y aura désormais un “avant le chik” et un “depuis le chik”
Depuis plusieurs semaines maintenant, nous commençons, passons et terminons chacune de nos journées à ne parler et à n’agir qu’en fonction de ce que nous impose le chikungunya. Et cela quel que soit le niveau de responsabilité que nous occupons, depuis sa base jusqu’à ses sommets, dans la société réunionnaise.
Nous y baignons tellement qu’il n’est pas impossible que certains d’entre nous ne se rendent pas compte que nous venons de changer d’époque. Comme il y eut l’avant et l’après “20 (…)