Silence dans les rangs !
En dépit de nos cris d’alarme, nos veilleurs de santé publique ont laissé une grave épidémie se développer en regardant ailleurs. Lorsqu’ils sont acculés à reconnaître que nous avions raison de crier “Au feu !”, les voilà fâchés tout rouge : nous avons dérangé leur paisible train-train. Alertés sur les réels supplices endurés quotidiennement par les victimes du Chikungunya, nous exhortons ces veilleurs myopes d’ouvrir les oreilles. Les voilà tout courroucés qui nous répondent : "on ne meurt (…)