Les paroles d’un homme politique
Il a suffi de sa dernière rencontre avec les Guadeloupéens, puis les Martiniquais, fermement décidés à ne pas s’en laisser conter, pour qu’il change brusquement de ton et d’avis, du moins en ce qui concerne la politique qu’il promet de mener dans leurs pays.
Il n’y a pas si longtemps, il tonnait encore contre la repentance, comme s’il ne voulait surtout pas qu’on revienne sur les crimes commis par l’armée française dans les anciennes colonies. Car pour lui, abroger la loi du 23 février (…)