Non à un journalisme de la honte
Que Jacques Tillier en veuille à la terre entière, c’est son problème. Qu’il se trouve un journal assez abject, assez amoral, pour publier à date fixe ses déjections hebdomadaires, c’est le signe d’un avachissement général de la presse et des valeurs qu’elle est censée représenter. Est-ce l’influence du rédacteur en chef ? L’amoralité gagne du terrain à grande vitesse au "JIR", comme en témoigne l’article d’un journaliste paru mardi dans le grand collecteur du tout-à-l’égoût médiatique, et (…)