Cher Monsieur Lenormand, je suis comme ça et même pire...
Dans le “JIR” de ce jeudi 4 mai, vous vous gaussez joyeusement : j’ai "mangé mon chapeau", écrivez-vous, vu que, "au bout de deux ou trois trajets par la route de la Montagne, (j’ai) fini par rendre les armes" et que j’ai "repris cette bonne vieille route de la Montagne". J’en conviens, vous l’accorde et vous supplie de ne plus en rajouter : je fais publiquement mon mea-culpa.
Mais dès que vous aurez pris connaissance du courrier que j’ai envoyé dès mercredi à la presse, vous saurez que (…)