Nivaquine et danger...
Ii y a deux mois, alors que je commençais à ressentir les premiers effets de la peste (chikungunya), j’ai téléphoné à mon médecin. Celui-ci, débordé, dépassé par les événements, m’a dit de prendre ce que j’avais sous la main et qu’il viendrait plus tard si nécessaire. Alors, pendant deux jours, j’ai pris en même temps qu’une décoction de feuilles de corbeille d’or pour combattre la fièvre, six comprimés de Nivaquine (N.B. en 1947 et 1948, les écoliers en recevaient trois tous les jours) ; (…)