À notre Premier ministre, Marco Boyer aurait volontiers parlé de travail...
Oublions quelques instants qu’il porta le C.P.E. et s’y entêta avant d’être obligé de tout retirer ; oublions encore qu’il eut un jour des propos un peu légers qu’il ne sied pas à un futur Premier ministre de tenir quand il parle de la France ; oublions également qu’il lit avec application et un certain talent des discours que ses services ont préparés et qui dépassent trop les attentes de ses interlocuteurs pour ne pas déclencher, en même temps qu’applaudissement, sourires sceptiques, voire (…)