Immigration : un calcul politique pervers
Pour l’électorat populaire, il ne se passe pas de semaine sans qu’intervienne une raison supplémentaire de souhaiter se débarrasser au plus vite du régime Chirac-Villepin-Sarkozy.
Il ne gagne rien de direct à toutes ces affaires dont on parle partout mais, pendant qu’elles occupent la galerie, il travaille moins à sa perte qu’à sa succession. Tout se passe comme [si ce régime] était pressé de mal faire, avant que de ne plus en pouvoir, dans la conviction perverse qui semble être la sienne (…)