Le ciel pleura alors de toutes les larmes du paradis...
Qu’y avait-il dans l’ovation que l’énorme foule massée tout le long de la darse de pêche et de plaisance a hier jeudi réservée à Raphaëla Le Gouvello ?
De l’admiration, à n’en pas douter, pour l’exploit humain accompli au bout de 60 jours d’une aventure que seuls des hommes et des femmes d’exception peuvent envisager réaliser...
De l’admiration, mais aussi un sentiment fort de reconnaissance pour avoir choisi notre île comme terme d’un rendez-vous qu’elle s’est donnée avec elle-même... (…)