Le Portugal, autant que la France...
Il est bon que nous ayons du respect pour les vaincus. Ils le méritent. C’est un peu grâce à eux que la fête peut se poursuivre pour ceux qui sont sortis vainqueurs de la partie qui vient de se terminer.
Dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, j’ai ressenti de la tendresse et de la sympathie pour le Portugal. Je me suis imaginé les rues d’Horta, aux Açores, ou celles de Lisbonne. Ils devaient avoir les larmes aux yeux, les jeunes et les moins jeunes de là-bas, eux qui ont tant espéré que (…)