En lisant Christophe Tézier et Bruno Geoffroy
Devant ma télé, j’assistais samedi, comme beaucoup d’entre nous, à ce qui annonçait la (très probable) victoire de l’américain Lance Arm... pardon... Floyd Landis, dans le Tour de France 2006.
Me revenaient alors les propos que Christophe Tézier tenait dans l’édition du “JIR” du matin. C’était un bel hommage à "l’armée des ombres" qui, forte d’une horde de seconds couteaux quasiment inconnus du grand public, "a pris le pouvoir, faisant oublier le haut du premier du peloton mondial renvoyé (…)