Mon propos est libre...
Aimé Lebon ne m’avait pas caché qu’il ne pouvait que blâmer ceux qui avaient fait allusion à son patronyme pour signer une lettre anonyme dont "on" s’était empressé de publier des morceaux choisis à mon encontre. C’était il y a un peu plus d’un mois quand "ceux-là", se camouflant (fort mal) sous des "A. Lebon, Charles Henri Lebon, puis Marie-Andrée Brémont ou M.A.R.", avaient trouvé dans une page de courrier des lecteurs support à leur passe-temps.
Il me plaît de souligner qu’Aimé Lebon (le (…)