Le quart d’heure de Maud Fontenoy
Quelqu’un - George Bernard Shaw - a dit un jour que, parmi les hommes, "il y a ceux qui voient le monde tel qu’il est et qui demandent : pourquoi ? Et il y a ceux qui voient le monde tel qu’il pourrait être et qui se disent : pourquoi pas ?".
Nous sommes, convenons en, bien plus nombreux à appartenir à la première catégorie. Les seconds, qui voient la Terre telle qu’elle pourrait être, ont les yeux écarquillés, les narines gourmandes d’air frais et les muscles déjà tendus vers l’effort (…)