De z’oreille à Bush
De z’oreille à Bush, je crois que notre seule force réside dans la reconnaissance de notre fragilité. Alors Mister Bush, cela est valable pour vous aussi, puisque vous êtes d’abord un être humain. Rangez vous toujours. Nous n’avons pas aimé jouer aux cow-boys et aux Indiens, nous n’avons pas plus envie de votre nouveau jeu sanglant. Puissiez-vous vous retirer de l’Échiquier International par un Pat honorable.
Si par contre, vous persistez dans votre choix de l’axe du Mat, alors, dans les (…)