Sans papiers à Marseille
Nous les prenons sous notre protection
Un constat est relevé par le RESF : ces sans papiers ont un triste point commun. La France leur refuse le droit de séjourner sur son sol, d’y étudier, d’y mener une vie personnelle et familiale normale, celle de tous les autres jeunes, dans les classes ou dans les quartiers. Faut-il aussi noter la peur de ces hommes, femmes et enfants ? Ils craignent tout simplement d’être expulsés de force, menottés. Et le RESF de déclarer dans un fascicule : « Face à une politique qui fait de l’immigration (…)