À TOS et à travers...
Deux ans et quatre mois après sa promulgation, la loi scélérate du 13 août 2004, soi-disant « relative aux libertés et responsabilités locales » (merci à ceux qui ont entrevu la liberté dans cette pochade de nous dire la tête qu’elle a...), continue d’étrangler les budgets des collectivités, d’accumuler les difficultés statutaires dans la gestion des personnels, de mettre en péril le fonctionnement des grands services publics, et au tout premier chef l’Education nationale.
C’est quelque (…)