Esclavage et religion
Si, à l’origine de sa vie, la Princesse Niama du royaume de Galam (en Sarakollé “Ni” signifie “voilà”, “a” signifie “la”, “ma” signifie “maman”) a été éduquée dans la religion animiste et dans ce que l’on appelle l’Islam noir, pétri de tolérance et de l’esprit de la Teranga (l’hospitalité sacrée).
Et si, dans les îles, lorsqu’elle devint chrétienne, elle porta le nouveau prénom de Marie-Geneviève, je pense qu’elle obtint une de ses plus grandes gratifications, non seulement lors de son (…)